L'emploi du temps
Les enseignants
Eszter Gál
est danseuse et pĂ©dagogue, elle enseigne Ă la facultĂ© des Arts de la scène et du film de Budapest, co-dirige le Kontakt Budapest Studio et organise le Festival International d’Improvisation de Budapest depuis 2002 (www.kontaktbudapest.hu).
CertifiĂ©e en Skinner Releasing Technique, elle pratique et Ă©tudie les techniques de Release et d’improvisation, en particulier le Contact Improvisation, depuis plus de vingt ans. Elle est membre de Co. Tanceania, un collectif basĂ© sur la mixitĂ© des danseurs (valides et en situation de handicap). Elle a rĂ©cemment fini ses Ă©tudes au sein de l’Ecole Doctorale pour la Science des Sports en 2015.
Depuis 2011, elle fait partie du projet de documentation pour l’Education en Danse Contemporaine (www.idocde.net) qu’elle a cofondĂ©e (2011-2013) : elle coordone LEAP (2013-2015) puis REFLEX EUROPE (2015-2018), projets qui mĂŞlent recherches documentaires, dĂ©veloppement d’une plateforme internet de partage, et discussion de la notion d’archive des pratiques pĂ©dagogiques avec des experts internationaux.
En tant que pĂ©dagogue en danse et improvisatrice, elle doit beaucoup Ă ses rencontres avec de nombreux artistes/pĂ©dagogues qui l’ont introduites Ă la danse et qui l’inspirent: Gyula Berger, Eva Karczag, Lisa Kraus, Steve Paxton, Nancy Stark Smith, Danny Lepkoff, Mark Tompkins, Lisa Nelson, Stephanie Skura, Joan Skinner, Keith Hennessy, Martin Keogh, Peter Pleyer, Nina Martin, Nita Little.
Charlie Morrissey
est danseur et chorégraphe, il a créé et collaboré à de nombreuses performances avec des professionnels, des étudiants, des amateurs, dans des espaces et contextes variés : paysages de bord de mer, rivières, champs, falaises, rues, parcs publiques, théâtres, galleries, observatoires, musées, châteaux, verrières. Son travail est particulièrement marqué par la question du contexte et par la vie dans le spectacle vivant, qu’il considère comme un environnement d’exploration et d’apprentissage.
Travaillant autant avec la chorégraphie qu’avec l’improvisation, il vise essentiellement la recherche de l’immédiateté dans le spectacle vivant. Ses pièces in situ utilise la nature viscérale et tridimensionnelle des environnements où il travaille, et cherchent souvent à créer de larges chœurs de mouvement – danseurs et publics réunis.
Internationalement reconnu pour son travail de danseur, de chorégraphe et d’enseignant, il travaille le champ chorégraphique depuis plus de vingt ans partout dans le monde. Son travail est informé par des relations profondes établies avec Steve Paxton, Lisa Nelson, Becky Edmunds, Scott Smith, Siobhan Davies, Kirstie Simson, K. J. Holmes et bien d’autres.
Je m’intĂ©resse Ă la manière dont le corps pense, au rĂ´le de l’imagination dans notre expĂ©rience du mouvement, aux potentiels des chemins que me propose mon corps lorsque je bouge et Ă ce que je peux en apprendre. Je ne cesse d’ĂŞtre Ă©merveillĂ© par notre capacitĂ© Ă participer activement, Ă jouer avec notre perception et Ă faire l’expĂ©rience de nous-mĂŞmes et de nos environnements comme l’une des grandes libertĂ©s dont nous disposons.
Itay Yatuv
est le directeur artistique de la Hakvutza Dance School, il pratique et enseigne le Contact Improvisation partout dans le monde depuis plus d’une dĂ©cennie. Itay a reçu sa formation en danse contemporaine Ă New York, en Italie et en IsraĂ«l. Il chorĂ©graphie depuis une dizaine d’annĂ©e, Ă la tĂŞte de nombreux projets internationaux et participe Ă de nombreux spectacles d’improvisation. Itay est Ă©galement formĂ© en Aikido, pratique qu’il intègre Ă sa recherche en Contact Improvisation.
Plus rĂ©cemment, Itay a commencĂ© Ă diriger des ateliers pour les jeunes enfants et leurs parents, dĂ©veloppant la mĂ©thode ContaKids depuis 2012. Chercheur par la pratique, explorateur continuel du Contact Improvisation, ses questions portent sur les diffĂ©rentes possibilitĂ©s et les diffĂ©rentes formes de mouvement dont deux corps humains peuvent faire l’expĂ©rience dans l’espace, et dont il a nourri la pratique de ContaKids.
Un « labo » ?
– une structure en petits groupes (10 personnes) pour pouvoir chercher ensemble
– un principe d’absence de hiĂ©rarchie (chacun doit pouvoir parler sa propre langue, selon son propre point de vue) parallèlement Ă une possibilitĂ© de doter temporairement des personnes de fonctions particulières
– un endroit oĂą l’on part de rien
– un lieu d’aller-retour entre le verbal/ et le non verbal, un espace d’expression et d’Ă©coute active
- A la question du comment, chaque laboratoire se verra proposer en dĂ©but de semaine une introduction aux principes de recherche dĂ©hiĂ©rarchisĂ©e en laboratoire : structures de parole, rĂ´les (gardien du temps, monsieur loyal, collecteur de trace, gardien du je…), modes de fonctionnement en danse et en mots pour faciliter ces Ă©changes.
- A la question du quoi, nous vous proposons d’explorer des « milieux ». Ils seront comme un centre de gravitĂ© pour les questions et les envies qui Ă©mergeront Ă l’intĂ©rieur de votre groupe.
- être une partie d’un tout, participer à une dynamique dont on est l’un des éléments (notion de systémie, de tenségrité)
- être attentif à ce qui émerge dans la rencontre, et qui n’appartient ni à l’un, ni à l’autre, mais justement à la rencontre.
- se laisser toucher lĂ , maintenant
- varier de points de vue, de cadres, de référentiels, de fonctions (notion de non identification)
- ĂŞtre souple, Ă©lastique
- envisager les écarts, les mises en tension, les espaces-entre comme des potentiels et non pas comme des espaces à réduire au plus vite
- utiliser la parole comme une expérience en tant que telle (avec les mêmes focus que ci-dessus et dessous) et pas seulement comme la transcription d’une expérience passée ou la préparation d’une expérience à venir.
- expérimenter des échelles, des relations:
- activité/passivité
- porosité/limites
- inertie/ lâcher-prise, inhibition/capacité à se laisser emporter
- etc…
Les laborantins
La première demi-journĂ©e de laboratoire – le samedi matin – sera prise en charge par un des cinq « laborantins », enseignants de contact improvisation. Avec leurs expĂ©riences et leur sensibilitĂ©, ils faciliteront la rencontre du groupe, partageront leur vision du travail en laboratoire (ainsi que quelques outils) et proposeront de goĂ»ter Ă une première expĂ©rience de labo.
A partir de samedi après-midi, chaque laborantin reprendra une place anonyme au sein de son groupe afin que chaque participant puisse y déployer sa créativité, son écoute et sa responsabilité.
Pénélope Laurent-Noye
Vue d’ici
Vers
LABBER
(Â )
s’offrir un espace de responsabilitĂ© partagĂ©e
laisser venir, accueillir, recueillir ce qui Ă©merge
entre autres
entre soi
s’entre-aut( )riser Ă gĂ©nĂ©rer une promenade de qualitĂ©(s)
mettre en commun les outils dont les un.e.s et les autres peuvent ĂŞtre porteur.euse.s
inventer ensemble les bornes qui faciliteront nos immersions dans ce milieu-lĂ
profiter de cet espace pour diffĂ©rencier ou confondre Ă volontĂ© nos regards sur/dans l’expĂ©rience en mouvement
ouvrir, fermer, bâtir tout plein de fenêtres, sans édifice, ad libitum
plongervoler
se rencontrer
(Â )
PARCOURS
PĂ©nĂ©lope dit : « Je voyage Ă travers les mondes de l’improvisation depuis une quinzaine d’annĂ©es. Je m’exerce au mĂ©tier d’interprète-auteure en arts vivants depuis 2008 et gĂ©nère depuis la mĂŞme pĂ©riode des contenants d’exploration en improvisations (Fouilles poĂ©tiques 2008-2013 ; Maab Lab (la marche absorbante), 2016). »
Lea Kieffer
Lea Kieffer est une artiste nomade, nĂ©e en France. Danseuse/chorĂ©graphe, son travail se centre sur la performance, l’improvisation et le contact improvisation. Elle crĂ©e un pont Ă©lastique entre une physicalitĂ© intense et engagĂ©e et des pratiques plus somatiques. Elles s’intĂ©resse Ă ce qui se cache derrière la forme, aux intentions brutes qui crĂ©ent l’architecture de la danse. Elle a enseignĂ© dans de nombreux festivals et stages en Europe, mais aussi en IsraĂ«l et au QuĂ©bec.
Depuis 2012, avec sa partenaire « of crime », Rocio Marano, elles agissent sous l’identitĂ©Â de « Los Ninjas » . Ensemble elles crĂ©ent performances, films, stages et Ă©vènements Ă Â Berlin et ailleurs.
Geneviève Cron
« L’espace de la jam est, pour moi, un lieu d’expérimentation de l’infinité des qualités de mouvement et des interactions kinesthésiques. À cet égard, c’est en même temps un laboratoire, une aire de jeu, une scène et un chaos… Ma pratique et mon enseignement du CI questionnent le choix, la limite, l’équilibre instable, le jeu, l’écoute de soi (et des autres).
Rendre digne d’intérêt toute nouvelle expérience, sans objectif de réussite, dans l’attention constante au présent, tel est l’un des multiples enseignements du CI ! »
Geneviève commence le CI en 2003, avec Jess Curtis, après des années d’observation.
De 2005 à 2012, elle voyage beaucoup pour se former, fascinée par l’originalité et la variété  de la pédagogie comme de la pratique. Dans l’enseignement, elle est surtout influencée par  Nina Martin, Malcolm Manning et Edwine Fournier ainsi que par les pratiques thérapeutiques et martiales. Elle a enseigné en France et à l’étranger (Malaisie, Grande-Bretagne, Allemagne, Italie, Afrique du Sud).
Membre du collectif et de la Cie Tangible, dédiée au tango-contact, et membre fondateur de l’association Movide, dédiée à l’enseignement et à l’organisation de rencontres de CI (celle des professeurs francophones en 2013, PIL, Ecite, PIB).
CĂ©line Auclair
CĂ©line Auclair est danseuse, performeuse, et professeur de danse contemporaine diplĂ´mĂ©e d’Etat. Elle enseigne la danse auprès de diffĂ©rents publics et dispense des cours techniques et ateliers chorĂ©graphiques au sein de plusieurs associations. FormĂ©e en danse contemporaine au RIDC, elle pratique Ă©galement le contact-improvisation, le yoga et la danse butoh. Sa danse se nourrit de ces influences diverses et d’une attention toujours renouvelĂ©e aux relations qui se tissent entre mouvements et perceptions, entre sensations et gestes, entre corps et milieux. ImpliquĂ©e dans le champ de la performance en espace public et de la danse in-situ, elle participe Ă plusieurs projets artistiques ayant pour objet la relation du corps Ă l’espace, et notamment Ă l’espace public urbain.
« Je vois le laboratoire en contact-improvisation comme un espace de pratique aussi bien artistique que politique. Il me semble qu’il s’agit d’inventer ensemble un cadre commun nous permettant d’explorer, d’échanger et de partager dans le mouvement comme dans la discussion. Je pense aussi que la constitution de ce « corps collectif », fait partie intégrante de la recherche.
J’imagine que le rôle de « l’introducteur/trice de lab » peut être celui de présenter les grands « principes » posées par les organisateurs (écoute active, absence de hiérarchie, respect, prise en compte de la parole de chacun, liberté d’expression…) ainsi que les outils déjà existants qui permettent d’y répondre. Il existe en effet des outils (qui proviennent de la communication non violente, des groupes féministes…etc), que vous évoquez sur le site (personne en charge du temps, de la restitution, monsieur loyal…) mais le groupe doit pouvoir inventer sa propre manière d’interagir et de délibérer, former son propre cercle. »
Danser le Square
Le Carreau du Temple propose régulièrement, dans leur magnifique halle, des évènements publics de plusieurs jours appelés « Second square », en référence au square du Temple tout proche. Nous aurons le plaisir de clore leur septième édition, notamment en investissant leur grande piscine à boules: la BALAPAPA! Nous leur avons proposé de faire entrer le contact improvisation dans ce grand square public, en empruntant les chemins qui se seront trouvés lors de notre semaine de rencontre. Ainsi chacune et chacun, en rapport avec sa trajectoire, pourra inviter les danseurs et les badauds à se fondre dans une danse. Les propositions viendront ponctuer et alimenter notre bal-jam ininterrompu.
Qu’est-ce qu’une jam décalée?
Une goĂ»teuse invitation Ă regarder le monde autrement…. le temps d’une jam!
Par qui ?
Boris Nordmann
Artiste-chercheur, son métier est fait d’allers-retour entre science et art.
Coordinateur artistique et scientifique de Old School/école de la relation inter-espèces, formateur accidentel en écholocalisation humaine, biologiste de formation et diplômé en 2004 du Fresnoy Studio National des Arts Contemporains, sa recherche vers les sociétés cétacées s’inscrit dans le cadre des Sciences Sociales au Centre Norbert Elias (UMR 8562, CNRS-EHESS).
Comme artiste, il développe ses projets avec des entrepreneurs en biologie (Inasmet), des chercheurs en psychologie de la vision (Laboratoire de la Vision Montréal), en analyse d’images (LIRMM, Montpellier), en traitement sémantique du lexique (Institut des Sciences Cognitives à Lyon), en bioacoustique marine (un peu partout), en biologie animale (MNHN, Paris), avec une metteur en scène (Mirabelle Rousseau), un acousticien (Kerwin Rolland), des artistes programmeurs (Alexis Chazard, Gaël Cobert), une poète (Dorothée Volut), des marins, un architecte archéologue (Yves Ubelmann) et un chef opérateur 3D (Alain Derobe).
Pour contourner les efforts de réalisation d’œuvres matérielles, il entreprend une forme de sculpture par prescription : d’abord en réalisant un audio-guide non localisé (Vision parlée) qui donne à l’auditeur des consignes de vision, puis en développant les Fiction corporelles, qui sont littéralement des méthodes pour se sentir autre : se sentir araignée, se sentir agglomération de Marseille, se sentir cachalot.
Devenant père, son intérêt pour la relation qui peut s’établir avec des mammifères marins s’est intensifié : Comment l’humain peut se placer dans une position d’apprentissage vis à vis des dauphins, bélugas, cachalots et autres odontocètes. A cette fin, il s’engage dans une série d’apprentissages, pour se mettre dans le bain : écholocation humaine auprès de formateurs aveugles (Daniel Kish et Tom de Witte), technique vocale (avec la performeuse Natacha Musléra), plongée en apnée, Kayak, Danse Contact et Composition Instantanée (ateliers avec Mathilde Monfreux et Robin Decourcy), méditation Vipassana, et Communication Intuitive®. Aux Caraïbes, il rencontre un marin escroc et fou. De retour, sain et sauf, il inscrit sa recherche dans le cadre académique des sciences sociales pour appliquer les outils de l’anthropologie contemporaine aux sociétés de cétacés.
Myriam Lefkowitz
Artiste chorĂ©graphique nĂ©e en 1980, Myriam Lefkowitz vit et travaille Ă Paris. Depuis 2010, sa recherche se focalise sur les questions d’attention et de perception. Recherche qu’elle dĂ©veloppe Ă travers diffĂ©rents dispositifs immersifs pour un spectateur et un performeur. Son travail a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă la 55ème biennale de Venise, au CAC (Vilnius), Ă Kunstevrein (New York), pour Le Mouvement (Biel), le Creative Time Summit (Stockholm), Le Nouveau Festival (Paris), Situations (Bristol), MED15 (Medellin), PAAS (Suède)…
En 2011, Myriam Lefkowitz participe au Master d’expĂ©rimentation en art et politique (SPEAP, Science Po Paris) fondĂ© par le sociologue et philosophe Bruno Latour. Et en 2013, elle rentre comme tutrice au comitĂ© pĂ©dagogique de SPEAP. Elle est rĂ©gulièrement invitĂ©e Ă enseigner Ă l’Ă©cole d’architecture de Versaille, Ă l’Open School East Ă Londres, Ă la Royal Academy of Art de Stockholm, Ă la HEAD (Genève)…
Dans le cadre d’une rĂ©sidence aux Laboratoires d’Aubervilliers elle dĂ©veloppe un projet collaboratif, La Piscine, rĂ©unissant une pluralitĂ© de pratiques en dialogue avec un espace public en usage.
« En nous appuyant sur des jeux de regards et de toucher, je proposerai une exploration des liens possibles entre l’activitĂ© de percevoir et celle d’imaginer. »
Gymnase Japy :
- 2 Rue Japy, 75011 Paris.
- Le métro le plus proche est Charonne (M9).
Carreau du temple :
- gymnase de la Forêt Noire : 2 rue Perrée 75003, Paris
- Les métros les plus proches sont Temple (M3), Filles du Calvaire (M8) et République (M5, M9, M3, M8, M11).
- Prendre les escaliers qui descendent puis suivre les panneaux « gymnase de la Forêt Noire »
Gymnase et piscine de la cour des lions :
- 9 Rue Alphonse Baudin, 75011 Paris (l’entrĂ©e de la piscine est Ă droite, celle du gymnase Ă gauche): salle polyvalente (1er Ă©tage Ă droite), salle de danse (2e Ă©tage Ă droite) et ligne de piscine
- Les métros les plus proches sont Richard Lenoir (M5), Saint-Ambroise (M9) et St Sébastien Froissart (M8)
HĂ©bergement
Nous faciliterons par contre la mise en relation des danseurs ayant besoin d’un hébergement avec ceux pouvant accueillir un ou plusieurs participants chez eux.
Repas
L’Ă©quipe du festival a le plaisir de prendre en charge trois repas ( cf emploi du temps gĂ©nĂ©ral « Autour d’un repas »), qui seront des moments de rassemblement collectif, conçus pour notre bon plaisir par l’incroyable Lissa Streeter, artiste culinaire et visuelle. En dehors de ces trois rendez-vous, nous vous invitons Ă prĂ©voir vos propres repas, et nous vous fournirons une liste d’adresse dans les quartiers oĂą nous pratiquons pour trouver restaurants et magasins bio oĂą faire vos emplettes.
MusicienNEs
Amenez vos instruments pour les jams et/ou les labos, vous serez les bienvenuEs pour ajouter vos sons aux improvisations dansées.
_______________________________________
Laverie Automatique
Voici une adresses de laverie automatiqueÂ
Ă deux pas du gymnase Japy
Lux Lavomatique, 154 Boulevard Voltaire 75011 Paris
_______________________________________
Bibliothèque
Vous avez envie de partager des textes ?
Un coin sera aménagé au gymnase Japy à cet effet!
Le mieux sera de photocopier avant de venir les extraits que vous trouvez inspirants: ça facilitera la lecture et le transport et permettra si vous en donnez l’accord aux danseurs intéressés de repartir avec à la fin des rici !…
_______________________________________
Transports
Les trajets Ă Paris peuvent ĂŞtre longs, examinez bien Ă quelle distance se trouve votre logement des studios.
Ici le site de la ratp qui gère métros, bus et trams : http://www.ratp.fr
Sinon, il existe les vélibs, vélos proposés par la ville de Paris : http://www.velib.paris/