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Plongées matinales

Connexion dès 8h45: attention, il ne sera plus possible de rejoindre la session, passé 9h!

 

Un temps pour traverser le confinement en mouvement, plonger dans ses perceptions, ses imaginaires, s’absorber dans une recherche dansée, transformer ses espaces quotidiens en petit laboratoire et démarrer la journée d’un bon pied.

Oui, tout ça !

Nous avons imaginé ces heures matinales sur le même format que les « Plongées d’automne » – qui ont eu lieu au Carreau du Temple à la Toussaint – mais en plus court, car via le numérique!

Chaque session sera composée d’une plongée de 40 minutes, suivie d’un temps de récolte en tandem.

Nous nous retrouverons via Zoom dès 8h45, afin de réellement débuter à 9h (en ayant réglé tous les potentiels problèmes techniques) Nous commencerons en partageant la partition d’exploration du jour, puis chacun pourra couper sa caméra et « plonger » pendant 40 minutes. Ces plongées sont un temps de recherche en autonomie, sans accompagnement verbal, mais avec une proposition musicale pour soutenir votre exploration. Nous conclurons la séance par un temps de récolte en tandems, soutenu par une partition que nous vous communiquerons après la plongée.

Qui? Catherine Kych, Gerry Quevreux, Marika Rizzi, Céline Robineau, (cf. ci-dessous, les bios)

Tarif: 25€ le cycle des 4 sessions (à régler préférentiellement par virement.)

Renseignements: plongees.lolm@gmail.com / Facebook: ICI

 

Quand?

Chapitre 1: Mercredi 18 novembre & Vendredi 20 novembre   /    Mercredi 25 novembre & Vendredi 27 novembre

Chapitre 2: Mercredi 2 & Vendredi 4 décembre   /    Mercredi 9 & Vendredi 11 décembre

 

Comment s’inscrire et rejoindre les sessions?

Facebook: https://fb.me/e/36jPpzPzO

–> Pour vous inscrire et régler les « Plongées – chapitre 1 ou 2 », c’est ICI

–> puis télécharger l’application gratuite Zoom sur votre téléphone ou votre ordinateur, si vous ne l’avez pas déjà: https://zoom.us/fr-fr/freesignup.html

–> Une fois que vous êtes inscrits et que vous avez reçu l’email de confirmation, c’est ICI pour le chapitre 1 (pour le lien zoom, les texte & la playlist) et Là pour le chapitre 2

 

 

 

Qui?

Parallèlement à son activité d’interprète, notamment chez Felix Ruckert et Odile Duboc, Marika Rizzi s’approche des pratiques somatiques, de l’improvisation et du contact improvisation. Dans son parcours de recherche elle suit l’enseignement de Kirstie Simson avec qui elle performe à plusieurs reprises, Simone Forti, Lisa Nelson, Steve Paxton à l’occasion du film « Material for the Spine », Nancy Stark Smith et Mike Vargas, Deborah Hay dans le projet SPCP témoigné dans le documentaire «Turn Your F*^king Head». Depuis 2005 elle développe des projets personnels. En 2017 elle termine une recherche master à Paris 8 sur les pratiques de K.Simson et de D.Hay à travers son expérience auprès des deux artistes. En 2018 elle a tourné dans le dernier long métrage de Damien Manivel « Les enfants d’Isadora » autour du solo « La Mère » d’Isadora Duncan. Le film a été primé au festival de Locarno 2019 avec le Pardo de la meilleure mise-en-scène. Depuis 2019 elle est artiste en résidence au centre d’art contemporain Les Moulins de Paillard. En suivant sa curiosité et son intérêt profond pour le mouvement, sa relation à la danse se développe en arborescence s’exprime aujourd’hui dans différents domaines. Elle défend la notion de « recherche en mouvement » sur laquelle son travail chorégraphique et son enseignement se fondent : partir de la pratique pour laisser émerger des matières corporelles et rejoindre la théorie à partir des savoirs spécifiques au geste et à la danse.
Gerry Quévreux est danseur contemporain et comédien dans le champ du spectacle vivant. Il fut un temps ingénieur mais s’active aujourd’hui avec les compagnies Tangible, La Césure, Le Retour d’Ulysse, Mangano-Massip et le collectif Sauf le Dimanche. Il conçoit également des chorégraphies et s’implique dans des objets artistiques hybrides – conférence, chorégraphie de film… Découvre le contact-improvisation en 2010 et prend part à l’organisation du festival du nouvel an à Paris pendant 5 ans. Vit le contact improvisation à la fois comme une inépuisable source de questionnement sur le mouvement et sa perception, un lieu d’expérimentation singulier mais également comme un outil très fécond dans le processus de création. Ses questions du moment : c’est quoi être avec, être en relation ?
Catherine Kych danse depuis une trentaine d’années (danse classique et contemporaine, mouvement sensoriel). En 2007, à la recherche d’espaces de liberté, de jeu et de partage, elle a plongé dans le contact improvisation et s’est enthousiasmée pour cette pratique non‐normative qui lui offrait la possibilité de rencontrer, d’abord par le toucher et le mouvement, des « autres », et de construire et déconstruire avec eux le monde. Chemin faisant, elle s’est muni d’outils pour faciliter l’accès à une conscience réfléchie de l’expérience. Depuis elle est membre du GREX ( www.grex2.com), groupe de recherche sur l’explicitation fondé par Pierre Vermersch, qui travaille à de forger des outils et une pensée de la psycho-phénoménologie. Plus récemment le D.U. « Médecine, méditation et neurosciences » de Strasbourg est venu compléter ses connaissances pratiques et théoriques sur l’attention – notamment dans les pratiques méditatives. Enfin cette année, une formation en hypnose ericksonienne viendra nourrir sa curiosité sur les différentes manières d’être au monde et d’être en relation.
Formée en Life Art Process, Céline Robineau aime utiliser le mouvement dansé, la poésie, la peinture, le dessin comme des reflets les uns des autres et des révélateurs d’une expérience. Danseuse et pédagogue, c’est une amoureuse et tisseuse de liens entre vivants… Elle recherche, fouille et se passionne dans le re-sentir (et ressentir) la relation aux autres êtres et à la nature. Elle accompagne la découverte de ressources et l’émergence de la créativité par le corps et le mouvement en premier lieu, mais aussi par le dessin et l’écriture. Elle enseigne le Contact Improvisation, aussi nommé « art sport » ou art coopératif. Il appartient au registre de la danse contemporaine et joue avec l’ouverture de l’attention, la gravité, le poids et l’espace. Elle participe et co-créait des performances dans des collectifs, s’intéresse à la communication inter-espèces et redevient dauphin, fascinée par l’eau ! Elle continue de se former et d’apprendre (BMC, explicitation, Feldenkrais,…), avec joie, ferveur et rebond !